Ils dansent à petits pas, la tête échevelée
À peine peuvent-ils s’enlacer et valser
Multiples rondeurs et rythme ensorcelé
Ils tentent soudain de vouloir s’embrasser
Fesses rotondité, mains grasses potelées
Couleurs violentes et rouges de désir
Le visage ravi aux moult bourrelets
Prend un air enjôleur et se met à rosir
Ils se trémoussent et tournent gracieusement
Les petits pieds chaussés de noir minuscule
Le corps saucissonné d’énormes parements
Ils n’ont peur de rien même du ridicule.
Ils sont heureux de vivre un moment délicieux
Dans la belle taverne aux musiques entraînantes,
Et s’empressent gaiment le plaisir dans les yeux.
Sur la piste endiablée courent des rumeurs chantantes.
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