Plus un seul bruit connu ni de
voix qui m'appelle
La pâleur du soleil n'atteint pas
mes yeux clos.
Des mots tendres et doux
cherchent en vain mon oreille
Les mains qui me caressent
refusent mon sommeil.
La douleur et les larmes de mes
maîtres m'atteignent
Leur amour triste et sourd à
cette fin cruelle
M'enveloppe, je ne sens plus le
froid.
Je me fonds dans l'amour des deux
mains qui m'étreignent,
Je happe l'odeur du jour une
dernière fois
Et je m'endors enfin, bercé par
leurs deux voix.
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