Tu m’as fait ce matin
d’étranges confidences.
Tu souffres me dis tu, d’un
amour colossal
Auquel on te répond par de
l’indifférence.
Comment ne pas y voir un
message fatal.
Et si tu regardais d’une
toute autre façon
Et écoutais enfin ce que l’on
te répond.
Mais tu clames bien fort
qu’on te laisse tomber
Qu’il n’est pas un moment
d’espoir ni de rêve
D’attendrir ton ami, de le
voir succomber
Tu voudrais que ton cœur
connaisse une trêve.
Et si tu essayais de ne
penser à lui
Aussi malignement ne
serait-ce aujourd’hui.
Et voici que tu pleures et te
lamentes encore
Il te trompe, c’est sûr, tu
ne sais que penser
Ce soir il sortira tout seul
et sans remord
Tu aurais tant voulu qu’il
t’emmène danser.
Et si tu l’embrassais pour te
faire pardonner
Tes querelles d’amour, si tu
voulais donner.
Tu trouverais en lui des
sentiments profonds
Et la fidélité d’un bel
attachement
Au lieu de cela tu cries et
tu te morfonds
Je t’en pris laisse le s’en
aller librement.
Si tu faisais confiance, tu
serais moins cruelle.
Après tout je ne vois pas de
quoi je me mêle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire